Le guidon droit ou plat

C’est le type de guidon qu’on trouve généralement sur les VTT et les vélos de route. Il se distingue par sa forme horizontale et est légèrement courbé. Le guidon droit ou plat a la particularité d’être facile à manier et transmet la force exercée de façon rapide. De ce fait, il est conseillé pour ceux qui pratiquent intensivement ce sport. Pour votre confort, vous pouvez équiper votre guidon plat de « cornes de vache » qui est un deuxième guidon qu’on installera sur votre vélo et où vous pouvez reposer vos mains.

Le guidon recourbé

Si le guidon plat est légèrement courbé, le guidon recourbé dessine une courbe vers l’arrière d’un angle d’au moins 12 °. Ce type de guidon est celui qui équipe les vélos en M, les vélos relevés, les vélos de ville et les vélos en arc de cercle. Vous poserez vos mains vers l’intérieur de votre corps, ce qui sera plus confortable sur une longue distance. Avec ce type de guidon, vous risquez moins la torsion des poignets.

Le guidon multi-positions

Ce guidon résulte de la combinaison du guidon droit et des « cornes de vache ». Il est facilement reconnaissable, car il est en forme de 8. On trouve le guidon multi-positions sur les vélos en tandem ou les vélos de randonnées. Avec ce modèle, vous pouvez facilement déplacer vos mains. Vous pouvez passer des freins aux commandes de vitesse sans problèmes.

Le guidon de route

Ce guidon est celui que vous retrouverez sur les vélos de course. Il est en forme de M, n’est pas très élevé et a un cintre recourbé vers l’avant. Le guidon de route a été conçu pour vous offrir une très belle performance sur une courte durée, car le cycliste est très penché sur le vélo afin de transmettre facilement la force pour un guidage plus facile.

Conduire avec un permis de conduire français

Dans certains pays d’Europe, il est tout à fait possible de prendre le volant d’une voiture avec votre permis de conduire français. Ce sera toutefois une permission temporaire. Cette autorisation est également accordée par certains pays qui se trouvent en dehors de ce vieux continent.  Votre permis sera par exemple valide aux États-Unis sous certaines conditions. Vous devez simplement être titulaire de la fiche rose depuis une année. Puis, votre séjour ne doit pas dépasser les trois mois. En Afrique du Sud, un permis français peut suffire pour conduire, à condition d’être traduit et certifié par le consulat. C’est la même chose pour la Nouvelle-Zélande et le Canada. Cependant, cet État fédéral nord-américain exige que la personne soit titulaire du permis depuis plus de 6 mois.

Prendre le volant avec un permis international

Pour avoir le cœur net sur les pays auprès desquels le permis français est valide, il faudra consulter les fiches des pays sur le site du ministère des Affaires étrangères. Dans un certain nombre d’États, vous devriez cependant présenter deux documents. Dans ce cas, la police de la route vous demandera alors un permis de conduire bleu-blanc-rouge et un permis de conduire international. Ce dernier est à demander gratuitement à l’administration. Il arrive également que le pays hôte n’accepte aucun de ces deux documents. Alors, il vous faudra demander le permis de conduire local. Vous devriez ainsi passer un examen de conduite et de code de la route.

Comment obtenir ce permis

Le permis A2 est permis qui s’acquiert après le A1 et avant le passage au permis A. Il permet de conduire les motos qui ont une puissance inférieure ou égale à 35 kW et les tricycles qui ont une puissance inférieure ou égale à 15 kW. Pour l’avoir, Il est nécessaire de passer un examen pratique et théorique. Dans ce cas, sont admissibles à l’examen, les personnes qui sont âgées de 18 ans et plus.   Ces dernières doivent également être de nationalité française et résidentes sur le territoire français. Si la personne est étrangère, elle doit disposer d’un visa de séjour à jour et valide, mais aussi, être une personne qui a résidé sur le territoire français au moins 6 mois avant sa demande. Enfin, il est exigé de passer par une analyse médicale si la personne a des soucis de santé. Si tous les éléments sont en règle, la personne peut passer à l’épreuve théorique. Il s’agit d’un examen de code. Ce dernier n’est pas obligatoire si le candidat a déjà passé cet examen durant les 5 dernières années avant la demande de passage à l’examen ou s’il dispose d’une autre catégorie de permis de conduire entre cette période. Ensuite, il devra passer l’examen pratique. Cet examen est à faire quand il aura réussi son examen de code et effectué un exercice de 20 h. Durant cet examen, il passera par l’épreuve du plateau, hors circulation, et des épreuves dans la circulation.

Un permis qui permet de passer le permis A

Si la personne a eu son permis A2, après 2 ans de possession, il peut demander le permis A. Dans ce cas, il lui sera exigé de suivre une formation pratique de 7 h dans une auto-moto-école. Par ailleurs, le candidat devra aussi avoir au moins 24 ans avant de pourvoir candidaté à ce permis. À la fin de la formation de 7h, on lui donnera une autorisation de circuler avec une moto de puissance plus élevée que pour le permis A2. Cependant, cette autorisation doit être présentée à la préfecture le plus tôt possible afin que cette dernière puisse reclasser le permis et le mettre à jour. Enfin, dans le cas où le pilote a des soucis de circulation dans les 6 mois de possession de son permis A et qu’il perd des points, il sera déclassé en permis A2.